Sophie Vermandel est sophrologue installée à Lumigny-Nesles-Ormeaux. Dans son travail, elle aide les personnes à mieux comprendre les raisons de leur mal-être.
Cette praticienne de Seine-et-Marne vous aide à gérer vos émotions
Posté le 26 janvier 2022 dans Actualités
C’est au sein d’un chaleureux cabinet situé à Lumigny-Nesles-Ormeaux (Seine-et-Marne) que l’ancienne architecte d’intérieur reçoit pour ses consultations.
Sophie Vermandel est sophrologue et hypnothérapeute depuis 7 ans. « J’ai suivi plusieurs formations et je me forme en continu afin de répondre au mieux aux besoins », explique-t-elle.
Explosion des demandes
La finalité de son travail est de permettre d’apprendre aux personnes à se comprendre eux-mêmes. « Il faut comprendre qui on est et comment on fonctionne pour réussir à gérer ses émotions », indique la thérapeute.
Depuis le premier confinement, la demande explose. L’isolement a exacerbé les problèmes. « Au premier confinement strict, les gens se sont retrouvés seuls avec eux-mêmes, sans moyen de se détourner des problèmes dont ils avaient conscience ou non. Beaucoup sont venus me voir pour comprendre les raisons de leur mal-être ».
Beaucoup se sont aussi posé des questions sur leur avenir professionnel. « J’ai aidé des personnes à mettre en adéquation leur métier et leur personnalité », récapitule Sophie Vermandel.
La thérapeute intervient également pour des problèmes d’addictions, de gestion de l’anxiété, des changements de vie brutaux, des problèmes de sommeil, la gestion de la douleur,… Elle intervient également dans des centres encadrant des enfants autistes, des malades d’Alzheimer ou encore par exemple au collège Madame de La Fayette de Coulommiers.
La confiance en soi
La clé semble être la confiance en soi avec pour objectif l’épanouissement personnel. Sophie Vermandel reçoit dans son cabinet les enfants dès 5 ans, les adolescents et les adultes.
Une séance d’une heure coûte 60€, remboursée par certaines mutuelles. Des hôpitaux et des médecins envoient leurs patients vers elle afin de limiter l’usage de médicaments dans certains cas où c’est possible. À se demander si une prise en charge par la sécurité sociale ne serait pas judicieuse afin de permettre au plus grand nombre de bénéficier de cette médecine douce.
Retrouvez l’article de La République de Seine et Marne
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